24 juin 2025 – publié dans le Journal of Bionanotechnology: Countdown to 2030

Lien vers l’article scientifique (PDF traduit en Français)

L’article scientifique intitulé « Self-Assembling Nanostructures in Blood and Urine: Implications for Bioaccumulation and Detoxification », publié dans le Journal of Bionanotechnology: Countdown to 2030 (juin 2025) par David Nixon, examine la présence de nanostructures auto-assemblées dans le sang et l’urine, suggérant une possible origine synthétique liée à des produits pharmaceutiques comme les vaccins et les anesthésiques.

Résumé général : Depuis 2021, des chercheurs ont observé des structures inhabituelles (vésicules, cristaux, fibres et colloïdes) dans des produits médicaux, puis dans le sang et l’urine des personnes exposées, ainsi que dans d’autres espèces (poissons, mammifères). Ces structures présentent une organisation géométrique, une connectivité modulaire et une réactivité aux champs électromagnétiques, suggérant une conception intentionnelle plutôt qu’une contamination accidentelle. Parallèlement, des signaux Bluetooth non identifiés, détectés près des individus vaccinés, montrent des caractéristiques non aléatoires (entropie contrainte, intervalles fixes), indiquant un possible système de communication bio-numérique intégré. Ces observations, visibles et reproductibles, soulèvent des questions sur leur fonction, leur intention et l’absence de réponse réglementaire, nécessitant une investigation scientifique urgente.

Méthodologie : L’étude utilise la microscopie en champ clair et sombre (grossissement 400x) pour analyser des échantillons de sang capillaire et d’urine, collectés sans anticoagulants ni fixateurs. Les échantillons sont examinés sur des lames stériles pour éviter la contamination. Bien que des contrôles rigoureux aient été utilisés dans des études antérieures sur des produits pharmaceutiques, cette étude n’inclut pas de contrôles spécifiques, mais s’appuie sur ces validations préalables.

Résultats : Les observations révèlent des vésicules, cristaux, fibres et colloïdes dans le sang et l’urine, avec des caractéristiques communes : bords nets, organisation interne et uniformité. Ces structures, également observées chez des animaux, semblent évoluer de manière dynamique (de vésicules à fibres, puis à des feuillets cristallins), suggérant un processus d’auto-assemblage programmé. Des vésicules imitant les globules rouges, mais sans leurs caractéristiques biologiques, et des matrices colloïdales denses indiquent une possible origine synthétique. Des signaux sans fil anormaux renforcent l’hypothèse d’une interface bio-numérique.

Discussion : Les structures observées ne correspondent pas aux processus biologiques standards et suggèrent une origine synthétique, potentiellement liée à des excipients ou additifs non déclarés dans les produits pharmaceutiques. Leur présence trans-espèces et leur cohérence avec des concepts de nanotechnologie (comme les réseaux bio-nano) soulèvent des préoccupations sur une possible plateforme technologique non divulguée. L’absence d’enquêtes institutionnelles malgré des preuves reproductibles est problématique, soulignant un besoin urgent d’investigations transparentes.

Conclusion : L’étude met en évidence des anomalies structurelles cohérentes dans les fluides biologiques, probablement liées à des matériaux injectables. Leur complexité, réactivité et présence trans-espèces exigent une recherche multidisciplinaire pour clarifier leur composition, fonction et implications pour la santé publique et la biosécurité. Les observations, visibles et vérifiables, appellent à une réévaluation des cadres réglementaires pharmaceutiques.