20 août 2024GlobalResearch Par Xavier Azalbert

Les médecins se rendaient à une conférence internationale à Sao Paulo où ils devaient présenter leurs conclusions selon lesquelles l’ARNm et les vaccins contre la COVID-19 sont responsables de l’explosion des cancers turbo et des maladies auto-immunes qui font des ravages dans le monde aujourd’hui .

En effet, selon l’Agence nationale de l’aviation civile brésilienne, l’appareil qui s’est écrasé vendredi 9 août 2024 au Brésil, à Vinhedo, à l’ouest du Paraná, avec 62 personnes à bord (passagers et membres d’équipage), volait depuis 2010 et « respectait toutes les normes en vigueur ». Le contact a été perdu avec l’avion à 13h21 heure locale, soit 18h21 heure française.

Le Centre d’investigation et de prévention des accidents aéronautiques du Brésil (Cenipa) a ouvert une enquête et commencé à analyser les deux boîtes noires. Il prévoit de publier un rapport préliminaire sur l’accident « dans un délai estimé à 30 jours » , a annoncé la Force aérienne brésilienne (FAB). Alors, attendons.

Par ailleurs, selon Marcel Moura, directeur des opérations de Voepass, l’appareil avait subi « des opérations de maintenance de routine la nuit précédente » et avait quitté la ville de Ribeirao Preto (dans l’État de Sao Paulo) « sans aucun problème technique ». Et, selon l’armée brésilienne, « l’avion n’a pas signalé de conditions météorologiques défavorables », c’est-à-dire pas de gel

Parmi les victimes figurent huit médecins qui se rendaient à Sao Paulo pour un congrès sur l’oncologie , des scientifiques dont quatre enseignants, dont des médecins de l’Université du Paraná .

Certains de ces scientifiques travaillent sur des recherches ou des méthodes alternatives peu coûteuses de traitement du cancer, qui sont complètement opposées aux traitements des multinationales leaders du marché du cancer, un secteur éminemment lucratif. Car il connaît une croissance énorme.

L’OMS prévoit une augmentation de 77% du nombre de cas d’ici 2050 ( estimation de 35 millions de cas en 2050 contre 20 millions en 2022 ).

En France, dans son rapport sur l’application de la loi de finances pour 2024 relative à la Sécurité sociale et dans la partie consacrée aux médicaments anticancéreux , la Cour des comptes indique :

« En 2020, 433 136 nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués en France, portant le nombre de patients traités chaque année à 3,4 millions. »

Le cancer est la première cause de mortalité en France (169 910 en 2022).

Le cancer est la pathologie la plus coûteuse pour l’Assurance maladie : son coût s’élève à 22,5 milliards d’euros en 2021, soit 12,1 % des dépenses de l’Assurance maladie. Les dépenses consacrées aux médicaments anticancéreux innovants délivrés aux hôpitaux et inscrits sur la « liste supplémentaire » 247 connaissent une forte hausse : elles représentent 3,3 milliards d’euros en 2018 et 5,9 milliards d’euros en 2022 » porte le coût annuel moyen des traitements contre le cancer à 14 580 euros.

Il s’agit donc du secteur le plus lucratif d’un marché, la santé, sur lequel Big Pharma entend continuer à régner en maître absolu .

Pour ces fondations, le cancer est une mine d’or. C’est mieux que le sida. C’est un secteur phare et pour elles, le cancer est « le meilleur du meilleur ».

Le marché devrait atteindre 300 milliards de dollars d’ici 2026. Un marché aussi juteux que celui des « vaccins » anti-covid grâce auquel, le canard boiteux qu’était devenu Pfizer (car empêtré dans de sordides affaires de corruption), a retrouvé la santé, comble du paradoxe, en jouant avec celle des autres, les centaines de millions de personnes, qui, merci Ursula Von der Leyen et Cie, se sont fait injecter cette thérapie. Aujourd’hui, certains n’hésitent pas à la qualifier d’« arme biologique » de destruction passive.

Des « spécialistes » ont émis l’hypothèse qu’une « formation de givre » sur les ailes de l’avion aurait pu être à l’origine de l’accident . C’est la version officielle actuelle .

De la même manière que j’ai toujours eu du mal à croire au récit officiel de la rencontre improbable entre un pangolin et une chauve-souris pour donner naissance au Sars-Cov-2, compte tenu des activités de recherche du laboratoire P4 de Wuhan financées par les États-Unis et la France , je réserverai mon jugement sur la cause de cette catastrophe dans l’attente des différentes données factuelles, et du rapport d’enquête.

Pardon !

Si les « spécialistes » en question sont du même acabit que ceux qui nous ont assuré, garanti, certifié que les « vaccins » anti-covid étaient efficaces à 100%, et absolument sans aucun risque pour la santé, permettez-moi d’avoir un doute.

De plus, je vous rappelle que le Brésil est un pays où les plantes médicinales et leurs utilisations sont très importantes. Boldu, quebra pedra, jambu, crajiru, genre phyllantus , géraniine , aux propriétés multiples, qui inhibent l’entrée du SARS-Cov-2 , autant de plantes aux propriétés anti-oxydantes, anticancéreuses peu connues en Europe dont les brevets sont achetés par les laboratoires pour ne pas les exploiter ou empêcher leur exploitation. Une manière de protéger les brevets sur des molécules synthétiques plus coûteuses à développer et qui seront vendues aux régulateurs à des prix astronomiques pour le patient et le système de santé. Tout cela n’est pas une théorie du complot. C’est la réalité.

Comme toutes les autres compagnies aériennes occidentales, les avions d’ATR, le constructeur franco-italien de l’avion qui s’est écrasé, sont équipés d’un transpondeur.

Un transpondeur est un type de GPS qui indique la position de l’avion en permanence, de jour comme de nuit, au sol ou dans les airs.

C’est donc ce qui permet d’éviter que deux avions entrent en collision sur le tarmac ou dans les airs (rappelons-nous du terrible accident de Tenerife le 27 mars 1977 où deux Boeing 747 sont entrés en collision sur la piste. Les causes sont multiples, dont la non-présence d’un radar au sol expliquant la position des avions à la tour de contrôle).

Un autre exemple du concept de transpondeur se trouve dans les téléphones portables ou dans les voitures, ce qui permet de les géolocaliser en cas de vol.

Cependant, ce qui sert à localiser tel ou tel appareil autorise aussi le contrôle ou la prise de contrôle. Et, entre de mauvaises mains, cela peut contribuer à ce que des avions entrent en collision les uns avec les autres. Pour cela, il suffirait de modifier à distance, par erreur ou par malveillance, le logiciel du transpondeur pour que l’avion perde sa localisation. Ne sachant plus où il se trouve dans l’espace tridimensionnel, cela peut entraîner la possibilité d’une catastrophe à un endroit précis, prédéfini. N’oublions jamais l’autre côté de la médaille de tous ces outils technologiques. Bien utilisés, ce sont des outils fantastiques, entre de mauvaises mains, ils deviennent des armes.

C’est aussi simple que ça. Cela date du tout début des années 2000. Précisément au moment où Thomson CSF a été liquidée au profit des Américains , notamment donc de la division transpondeurs (merci Jacques Chirac, président de la République, merci Lionel Jospin, Premier ministre et merci Laurent Fabius, ministre de l’Economie, destinataires du décret qui a procédé à ce dépeçage). Depuis, tous les avions Airbus et Boeing sont équipés de ce système . Il est donc très facile de nuire à une personne, il suffit de prendre un avion. Ainsi, avec cette information rendue publique, de nombreuses personnes se sont amusées à suivre les vols privés de milliardaires, s’interrogeant ainsi sur leur contribution négative à la réduction des émissions de CO2 !

C’est pour cette raison que, comme d’autres personnalités, Recep Tayyip Erdogan , le président turc, utilise exclusivement des avions russes, qui ne sont pas équipés de transpondeurs. Là encore, afin de minimiser les risques d’une collision « accidentelle » avec un avion qui en est équipé, ces personnalités ajoutent à cette mesure de prudence élémentaire, celle de ne rendre accessible par avion l’horaire et l’itinéraire de leurs déplacements… qu’au dernier moment.

Un Brésilien qui aurait dû être l’un des passagers de l’avion qui s’est écrasé vendredi après s’être trompé de porte d’embarquement est le seul survivant de la tragédie. L’avion reste le moyen de transport le plus sûr au monde.