6 octobre 2025 – VISION360&PLUS

Quand les traînées blanches du ciel deviennent un voile sur la vérité (Photos prises à Plougasnou – Octobre 2025)

Plougasnou – Octobre 2025

1️⃣ “C’est complotiste !” : l’argument automatique

À chaque fois qu’un citoyen lève les yeux vers le ciel et ose poser des questions sur ces traînées persistantes, la réponse tombe : “complotiste”. C’est devenu un réflexe conditionné. Pourtant, des milliers de photos et témoignages circulent, montrant des phénomènes qui ne correspondent pas aux simples contrails (traînées de condensation).
On n’a pas besoin d’être scientifique pour constater qu’il y a deux réalités distinctes.


2️⃣ Contrails vs chemtrails : comprendre la différence

Les contrails, traînées de condensation issues des réacteurs d’avions, apparaissent uniquement en haute altitude (au-dessus de 8 000 m) où l’air est très froid et sec mais contient encore de la vapeur d’eau.
Cette vapeur n’ayant pas de noyaux naturels pour se condenser, ce sont les impuretés du kérosène qui servent de catalyseur. Résultat : une fine traînée blanche qui se dissipe en deux ou trois minutes (parfois un peu plus selon l’humidité).
Ce qui n’arrive jamais avec un contrail, c’est l’étalement en voile nuageux durable.
Or, ce que beaucoup appellent “chemtrails” se forme souvent à des altitudes bien plus basses et se transforme en véritables nappes nuageuses.


3️⃣ L’épandage, une réalité historique

L’épandage aérien n’a rien d’une invention : il est pratiqué depuis des décennies dans l’agriculture, la lutte anti-moustiques, ou encore certaines expériences militaires et climatiques.
En 2023, l’Espagne a publiquement évoqué des pratiques inquiétantes d’épandage et certains États américains ont ouvert des enquêtes pour en déterminer la nature et le contenu.
Des associations citoyennes et des scientifiques indépendants ont même publié des analyses de prélèvements révélant des traces de barium, aluminium, strontium… sans que cela ne suscite de réelle enquête officielle.


Plougasnou – Octobre 2025

4️⃣ Pourquoi ce silence médiatique ?

On nous parle sans cesse de CO₂, de “transition écologique” et de “réchauffement climatique”, mais jamais de ce qui se passe au-dessus de nos têtes.
Pourtant, des incidents spectaculaires existent : l’année dernière, à Dubaï, un épandage mal contrôlé aurait entraîné des inondations massives pendant plusieurs jours. Silence radio dans la grande presse.

On détourne l’attention du vrai problème écologique : pollution des océans, des sols, agriculture intensive, pêche industrielle, surconsommation, plastiques partout. Tout cela reste secondaire dans le discours officiel, pendant que le citoyen se voit culpabilisé pour son empreinte carbone.


5️⃣ Une stratégie globale ?

Et si l’objectif n’était pas de lutter contre le réchauffement climatique, mais de le provoquer ?
Créer un voile artificiel pour masquer le Soleil, modifier le climat, perturber les cycles naturels… et en parallèle contrôler les populations par la peur et les restrictions.
Covid-19, réchauffement climatique, transition énergétique, Forum économique mondial, “nouvel ordre mondial”… tout cela ne serait-il pas, finalement, les pièces d’un même puzzle ?


Plougasnou – Octobre 2025

6️⃣ La question qui reste en suspens

Chaque citoyen a le droit de s’interroger. Chaque citoyen qui regarde le ciel plutôt que son téléphone peut constater ces traînées inhabituelles.
Ce débat mérite autre chose que le mépris ou le mot “complotiste”. Il mérite transparence, enquêtes, données publiques.
Parce que si l’on modifie délibérément l’atmosphère, le climat et la lumière du Soleil, cela concerne l’humanité entière — et ce n’est pas un sujet mineur.


Plougasnou – Octobre 2025

🎯 Conclusion

On nous a mis dans la tête que le réchauffement climatique était uniquement dû à l’activité humaine et à son CO₂. Mais pendant que l’on culpabilise les populations, les industries continuent à tourner et des phénomènes d’épandage opaques se multiplient.
La vraie écologie, c’est de réclamer la vérité sur ce qui se passe dans nos ciels, dans nos sols et dans nos océans.
Tant que la presse refusera d’enquêter sérieusement, la suspicion ne fera que croître. Et peut-être est-ce exactement ce que certains recherchent.