21 juillet 2025 – Source
Nos cœurs aujourd’hui disent non à un monde superficiel, écoutons les !
Nous nous sommes incarnés pour ressentir ! Pour vibrer et communier avec autrui !
Le monde terrestre est énergétique, fréquentiel et vibratoire.
Tout ce qui est mental et causal, nous le vivions déjà en tant qu’êtres désincarnés !
Notre monde terrestre ne se mesure pas, il se ressent.
Ils ont peur de ce que tu ressens, pas de ce que tu sais, ni de ce que tu dis, mais de ce qui palpite en toi.
Car le sensible authentique est une force qu’on ne peut ni coder ni soumettre.
C’est une fréquence imprévisible, fertile, nue.
Un courant de vie brute qui échappe à toutes les matrices.
Alors ils s’y attaquent, ils le nient, le méprisent, le pillent.
Ils te disent de te durcir, de produire, d’optimiser.
Ils t’encouragent à contrôler tes émotions, à verrouiller ton corps, à dissocier ton cœur de tes décisions.
Ils appellent ça l’efficacité.
Mais c’est une fuite organisée du vivant.
Là où tu t’ouvres, il pénètre.
Là où tu vibres, il capte.
Ils ne supportent pas la grâce fragile de ce que tu es.
Car cette grâce ne se laisse pas posséder.
Elle leur échappe encore et encore, comme l’eau entre les doigts.
Alors ils veulent remplacer le contact par l’écran, la sensation par la stimulation, le silence par le bruit, la présence par de la donnée et le mystère par de la mesure.
Ils te proposent une vie de surface, de clics et de réponses, où tu n’as plus besoin d’écouter ton ventre, ta peau, tes larmes.
Et pourtant, le trésor est là.
Dans cette zone non marchande, dans cette intimité organique avec toi-même, dans ce lieu que rien ne peut falsifier, car il ne produit rien.
Il est pur accueil, réceptacle, vivant, source inaliénable.
C’est pour ça que les enfants sont attaqués si tôt.
C’est pour ça que les femmes sont violées, réduites, chosifiées.
Parce que le féminin profond, qu’il soit dans une femme ou dans un homme, porte cette porte du monde sensible, tel que le système ne peut franchir sans se dissoudre.
Alors aujourd’hui, ton choix est radical.
Pas spectaculaire, mais vital.
Reste là, dans ton corps, dans ton ressenti, dans ta tendresse, dans ton souffle.
Et chaque fois que tu honores ce lieu, chaque fois que tu préfères la vibration d’un silence à la séduction d’un écran, tu affirmes une insoumission sacrée.
Tu ne combats pas la matrice.
Tu lui refuses tout simplement ton vivant.
Et ce refus, c’est la faille par où l’humanité revient.