16 mars 2025 – VISION 360 & PLUS

Sur le site du Sénat en suivant ce lien :

https://www.senat.fr/questions/jopdf/2021/2021-06-10_seq_20210023_0001_p000.pdf

Alinéa 3635 Europe et Affaires étrangères , on peu lire :

Qui est le complotiste ? La réalité des groupes néonazis en Ukraine

Depuis le début du conflit en Ukraine, toute mention de groupes néonazis opérant librement dans le pays a été systématiquement rejetée par les médias traditionnels et les gouvernements occidentaux comme relevant du « complotisme ». Pourtant, la réalité est bien différente, et les faits, loin d’être des élucubrations, sont officiellement documentés.

En témoigne le paragraphe 3635 des questions du Sénat (Europe et Affaires étrangères), qui reconnaît l’existence de groupes néonazis en Ukraine, agissant en toute liberté. Ce point, qui devrait susciter un débat approfondi et des interrogations sur les soutiens occidentaux à Kiev, est au contraire soigneusement passé sous silence par la presse mainstream.

Une vérité occultée par la propagande occidentale

Depuis 2014, des milices comme le bataillon Azov, connu pour son idéologie ultranationaliste et ses liens avec des mouvements néonazis, ont été intégrées aux forces armées ukrainiennes. Ces groupes ne sont pas de simples marginaux, mais des unités combattantes reconnues par le gouvernement ukrainien, parfois même encensées dans les médias occidentaux comme de courageux résistants face à la Russie.

Pourtant, plusieurs rapports d’ONG, d’observateurs internationaux et même de certaines instances gouvernementales ont signalé leurs exactions, leurs symboles explicitement inspirés du IIIe Reich et leurs discours haineux. Mais ces faits ont été minimisés, voire niés, sous prétexte qu’ils nuiraient à la cause ukrainienne.

L’hypocrisie des gouvernements et des médias

Quand des citoyens ou des journalistes indépendants soulèvent ces contradictions, ils sont immédiatement étiquetés de complotistes, de pro-russes ou de désinformateurs. Pourtant, lorsque ces éléments sont mentionnés noir sur blanc dans des documents officiels, comme ceux du Sénat français, le silence s’installe.

Alors, qui sont les véritables complotistes ? Ceux qui alertent sur ces réalités, s’appuyant sur des faits documentés et des sources officielles, ou ceux qui préfèrent les ignorer pour ne pas compromettre le narratif imposé ?

Il est crucial que l’opinion publique ouvre les yeux sur cette dissonance médiatique et cesse de se laisser dicter une version simplifiée et biaisée de la réalité géopolitique. Une information honnête ne peut se permettre de sélectionner les faits en fonction des intérêts politiques du moment.