23 mars 2025 – Greg Reese

Corrado Malanga, de l’université de Pise, et Filippo Biondi, impliqué dans la recherche sur le radar et la télédétection à l’université de Strathclyde, ont publié en 2022 une recherche évaluée par les pairs via MDPI, intitulée « La tomographie Doppler radar à ouverture synthétique révèle des détails de la structure interne à haute résolution non découverte de la grande pyramide de Gizeh ». Source MDPI

Leurs recherches ont été menées à l’aide de données SAR, radar à ouverture synthétique, ainsi que de logiciels propriétaires, développés par Filippo Biondi, qui transforment les signaux radar en informations phononiques permettant la détection de vibrations millimétriques. Cette technologie de pointe est capable de révéler des structures souterraines invisibles aux méthodes traditionnelles, et a révélé des structures internes jamais vues auparavant.

Ayant établi leur expertise dans l’utilisation du SAR pour explorer les structures pyramidales de manière non invasive, un communiqué de presse récent sur leur projet actuel a été publié samedi dernier.

Ce communiqué de presse du 15 mars 2025 a résumé les principales conclusions des recherches de l’équipe sur la deuxième plus grande pyramide du plateau de Gizeh, connue sous le nom de pyramide de Khéphren. Et ce qu’ils ont trouvé était étonnant.

Les analyses de dizaines d’images SAR tomographiques obtenues sous différents angles ont permis la reconstruction 3D de l’intérieur de la pyramide de Khéphren. Et au plus profond de la surface du plateau.

Près de la base de la pyramide, on voit 5 structures identiques, reliées par des voies géométriques. À l’intérieur de chacune d’elles se trouvent 5 niveaux horizontaux et un toit incliné.

Sous ces 5 structures se trouvent 8 structures cylindriques qui semblent être des puits verticaux, creux à l’intérieur, et entourés de voies en spirale descendantes. Ces 8 structures cylindriques alignées verticalement, disposées sur deux rangées parallèles du nord au sud, descendent à une profondeur de 648 mètres où elles fusionnent toutes en deux grandes structures cubiques mesurant environ 80 mètres de côté.

L’ensemble de la structure s’étend sur environ deux kilomètres sous la surface. Et s’étend sous les trois pyramides du complexe du plateau de Gizeh.

L’égyptologie dominante nous dit que les pyramides de Gizeh étaient des tombeaux pour les pharaons, Khéops, Khéphren et Mykérinos. Et qu’elles ont été construites vers 2500 avant J.-C. à l’aide de rampes, de traîneaux et de leviers.

Mais les mathématiques redondantes de leur construction, qui incluent Pi, le nombre d’or et la vitesse de la lumière, ainsi que le témoignage des architectes experts d’aujourd’hui, suggèrent que l’histoire officielle ne tient pas debout.

La structure souterraine massive révélée par les récentes données SAR montre ce qui semble être un système mécanique ou fonctionnel. Et cela a été hypothétisé dans le passé.

Nikola Tesla pensait que les pyramides pouvaient exploiter les fréquences naturelles de la Terre. Cela a sans doute inspiré ses expériences en matière de transmission d’énergie sans fil et d’ondes scalaires.

Dans « The Giza Power Plant », Christopher Dunn a soutenu que la grande pyramide était une machine génératrice d’énergie utilisant des forces résonantes et acoustiques pour convertir les contraintes mécaniques en électricité.

Dans « The Giza Death Star », Joseph Farrell a proposé que la grande pyramide de Gizeh était une arme de destruction massive utilisant un type de physique, qu’il appelle « paléophysique », pour concentrer l’énergie comme une arme scalaire.

Les puits cylindriques pourraient être des conduits pour l’énergie ou les ondes sonores, et les structures cubiques pourraient servir d’unités de stockage ou de stabilisation de l’énergie, semblables à des composants dans une arme ou un générateur à grande échelle. Et la détection de vibrations dans les structures internes de la pyramide reflète toutes ces idées.

Le projet Khéphren espère planifier une excavation afin de découvrir plus de choses sur cette structure souterraine, mais l’histoire montre que ce sera très difficile d’obtenir l’approbation.

Pour une présentation visuelle de ces découvertes, vous pouvez consulter la vidéo suivante :

Conferenza stampa #Giza. Armando Mei, Filippo Biondi, Corrado Malanga.