14 mai 2025 – UNCUT-NEWS

Une étude récente publiée dans l’ International Journal of Preventive Medicine (mars 2025) analyse l’association entre les vaccins contre la COVID-19 et les événements cardiovasculaires graves. Les résultats sont basés sur onze études observationnelles contrôlées portant sur un total de plus de 85 millions de participants – et ils dressent un tableau clairement critique de la campagne de vaccination dite à ARNm.
Principales conclusions de l’étude
L’étude a examiné la survenue de quatre événements cardiovasculaires graves après la vaccination contre la COVID-19 : crise cardiaque, maladie coronarienne (MC), accident vasculaire cérébral (AVC) et arythmie cardiaque. Les corrélations statistiquement significatives suivantes ont été trouvées :
- Après la deuxième dose, un risque plus de trois fois plus élevé de maladie coronarienne a été observé (OR : 3,44 ; CrI à 95 % : 1,99–5,98).
- La première dose de Pfizer/BioNTech a été associée à un risque accru de crise cardiaque (OR : 1,87) et d’accident vasculaire cérébral (OR : 2,09).
- La première dose d’AstraZeneca a montré un risque presque cinq fois plus élevé d’arythmie cardiaque (OR : 4,89).
Ces chiffres remettent sérieusement en cause le discours officiel sur la sécurité des campagnes de vaccination. D’autant plus que les maladies mentionnées sont potentiellement mortelles et ne devraient pas être proportionnées à une préparation prophylactique.
Effet protecteur paradoxal de la troisième dose ?
Cependant, un autre aspect de l’étude est frappant – et scientifiquement très discutable : selon les auteurs, la troisième dose (appelée rappel) a été associée à un risque considérablement réduit de crise cardiaque (OR : 0,003) et d’accident vasculaire cérébral (OR : 0,20).
Cette affirmation soulève des questions fondamentales :
- Comment un médicament dont il a été démontré qu’il provoque des dommages cardiovasculaires dès les deux premières doses peut-il soudainement protéger contre les mêmes maladies dès la troisième dose ?
- S’agit-il d’un artefact statistique ? Les groupes à risque étaient-ils déjà éliminés après les deux premières doses et n’étaient donc plus inclus dans les évaluations pour la troisième dose ?
- Ou s’agit-il d’un biais méthodologique dû aux paramètres par défaut des modèles d’analyse utilisés ?
Les auteurs eux-mêmes admettent que des recherches supplémentaires sont nécessaires. Néanmoins, le résultat de « l’effet protecteur de rappel » est considéré sans réserve comme un aspect positif de l’étude.
Vaccin ou médicament à long terme ?
Un autre aspect qui est non seulement explosif sur le plan médical mais aussi social : l’étude montre qu’un prétendu effet protecteur ne se produit qu’avec la troisième dose. Cela soulève la question de savoir si l’on peut réellement parler d’une vaccination classique ou s’il s’agit plutôt d’une forme d’intervention médicale continue.
Une vaccination au sens classique (comme contre la polio ou le tétanos) offre une protection à long terme après une ou deux doses. Cependant, si une « vaccination » doit être renforcée à intervalles réguliers et comporte de nouveaux risques à chaque dose, il s’agit de facto d’une thérapie continue – avec une fin ouverte.
Conclusion
L’étude fournit des preuves statistiquement significatives que certains vaccins et dosages contre la COVID-19 augmentent le risque de maladie cardiovasculaire. L’effet protecteur présumé de la troisième dose n’est pas scientifiquement convaincant et contredit le principe de l’exposition cumulative par injections répétées.
Ces résultats devraient être la raison pour laquelle :
- Une réévaluation immédiate des recommandations de vaccination,
- une étude indépendante sur les effets à long terme,
- ainsi qu’un examen critique de la définition et de l’acceptation sociale de ces cycles de traitement répétés.
Ce qui a été vendu à la population comme un vaccin s’avère de plus en plus être une thérapie à long terme avec des effets secondaires importants – tout cela au nom de la santé publique.
Sources :
- Revue internationale de médecine préventive , mars 2025
Accéder directement à l’étude - Exposé News , 7 mai 2025
Article d’analyse